Monsieur Hanafi, fils d’un ancien ambassadeur, tient ce restaurant juste à côté du Forum des Halles. Ses parents l’ont ouvert en 1984 et aujourd’hui encore, il demeure l’un des rares représentants de la cuisine indonésienne à Paris.
Monsieur Hanafi, fils d’un ancien ambassadeur, tient ce restaurant juste à côté du Forum des Halles. Ses parents l’ont ouvert en 1984 et aujourd’hui encore, il demeure l’un des rares représentants de la cuisine indonésienne à Paris.
C’est l’une des rares tables indonésiennes de Paris. Allez-y ! La patronne, Nin, fille d’un ministre et ambassadeur de Sukarno, a crée ce restaurant en 1985, ambassade culinaire qui propose une cuisine familiale traditionnelle…
If you have a nut allergy, stay far, far away. Virtually every dish served here is smothered in peanut sauce. Unimaginative, you might think, but the warm surroundings, friendly service and good food will help you forgive the repetition.
OK ! It might look like Hollywood’s idea of an Indonesian restaurant with all those Balinese handicrafts adorning the walls, but this is the real thing, run by the progeny of an Indonesian diplomat exiled when President Sukarno was overthrown in …
Ouvert le soir seulement. Fermé le lundi. Menus sous forme de rijttafels (assortiments de plats) de 18€ (sauf le vendredi soir) à 43€. A la carte, compter autour de 35€. En plein quartier des Halles, ce joli resto est une délicieuse invitation balinaise.
Un dieu ? Un démon ? Ailes déployées, une statue veille sur la salle. Quelques masques font de gentilles grimaces, des marionnettes aux robes anciennes font des grâces. Sur les tables, des pétales de rose flottent sur l’eau. Le service est …
Les épices et condiments nécessaires à la cuisine indonésienne traditionnelle sont rares à Paris. Cette cuisine, ouverte aux influences chinoise, indienne, malaise, thaïlandaise, n’en conserve pas moins, grâce à ces goûts et saveurs, une identité.
L’exil permet de se construire un pays à manger. Et une ambassade bis, pendant que la dictature continue. A Djakarta Bali, deux générations ont veillé à la conservation des goûts. Il faudrait maintenant actualiser la cuisson des poissons.
L’Indonésie au sommet de la séduction. Aucun bémol dans la partition de cette cachette magique, planquée dans une ruelles des Halles. La décoration affiche un éclectisme charmeur : lustre cristal, moquette coco, paravents en bois sculpté, rideaux…
Les cuisines chinoise, vietnamienne et thaïlandaise n’ont plus de secrets pour les palais parisiens. « Les Echos week-end » vous invitent à découvrir des saveurs plus rares, philippines, indonésiennes et malaises. Mini-tour de table…
Un dieu ? Un démon ? Non ! Juste une statue qui veille, toutes ailes déployées, sur la salle. Quelques masques font de gentilles grimaces, des marionnettes aux robes anciennes font des grâces et, sur les tables, des pétales de rose flottent…
Sur les tables, des pétales de rose flottent sur l’eau. La cuisine indonésienne est fine, goûteuse, plutôt épicée. Pas de raretés, mais des cuissons à la vapeur dans des feuilles de bananier pour le poisson et des sauces traditionnelles, …